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Résumé de mon article du concours ARDYIS


Titre de l’article : Les TIC et l’accès au marché des produits agricoles au Burkina Faso : la valorisation du canal de l’information
De nos jours, l’essor des nouvelles technologies de l’information et de la communication offre de nouvelles opportunités au milieu rural en général et au secteur agricole en particulier.
Le principal canal par lequel les TIC peuvent améliorer l’accès au marché des produits agricoles est celui de l’information. Ainsi, à travers les informations agricoles sur le web/TV, radio et sur support multimédia certaines informations concernant le prix des produits, la disponibilité des stocks, la qualité, l’origine etc. peuvent être obtenues. Egalement, les TIC peuvent résoudre la question de la traçabilité des produits agricoles et résoudre ainsi les problèmes de qualité et de normes. Aussi, à travers Internet la  vente et l’achat de produits agricoles en ligne dévient possible ; il en est de même de l’usage du téléphone portable dans la circulation des informations et la conclusion des contrats. De nombreuses applications existent au Burkina Faso quant à l’utilisation de ces technologies dans la commercialisation.
Toutefois, l’existence d’une multitude de sources d’informations, chacune prenant en compte uniquement une partie des informations pose la problématique de l’efficacité de tous ces dispositifs et donc la question de la centralisation. C’est pourquoi nous proposons la réalisation d’un observatoire des marchés et produits agricoles. Cet observatoire sera un outil d’aide à la décision et permettra une plus grande efficacité dans la gestion de l’information agricole.

2 commentaires:

Unknown a dit…

cool, very interesting, may God help u to continue in the same way, Ousséni KINDA

TICAFRICA a dit…

Nous avons la même idée pour plusieurs pays d'Afrique centrale et de l'ouest mais comment faire pour collecter l'information réelle à la bonne source ?
En fait, il s'agit de convertir ce qui, dans la tradition orale, se répandait de bouche à oreille en prenant évidemment le temps de se répandre (soit quelques semaines à quelques mois) en une tradition numérique qui répandrait l'info en quelques heures.
Encore faut-il que sur les marchés comme dans les zones rurales, les gens soient capable d'introduire l'information dans le circuit puis de la recevoir et de la comprendre ...

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Ce blog est le lieu pour moi de partager mes idées sur comment la gestion des TIC peut contribuer au développement de nos pays. Mon nom est Inoussa TRAORE, je suis originaire du Burkina, je prepare actuellement une thèse en sciences économiques à l'université Ouaga II, je suis également chargé d'études, de recherche et de formation à l'Association Yam Pukri

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mercredi 9 mars 2011

Résumé de mon article du concours ARDYIS


Titre de l’article : Les TIC et l’accès au marché des produits agricoles au Burkina Faso : la valorisation du canal de l’information
De nos jours, l’essor des nouvelles technologies de l’information et de la communication offre de nouvelles opportunités au milieu rural en général et au secteur agricole en particulier.
Le principal canal par lequel les TIC peuvent améliorer l’accès au marché des produits agricoles est celui de l’information. Ainsi, à travers les informations agricoles sur le web/TV, radio et sur support multimédia certaines informations concernant le prix des produits, la disponibilité des stocks, la qualité, l’origine etc. peuvent être obtenues. Egalement, les TIC peuvent résoudre la question de la traçabilité des produits agricoles et résoudre ainsi les problèmes de qualité et de normes. Aussi, à travers Internet la  vente et l’achat de produits agricoles en ligne dévient possible ; il en est de même de l’usage du téléphone portable dans la circulation des informations et la conclusion des contrats. De nombreuses applications existent au Burkina Faso quant à l’utilisation de ces technologies dans la commercialisation.
Toutefois, l’existence d’une multitude de sources d’informations, chacune prenant en compte uniquement une partie des informations pose la problématique de l’efficacité de tous ces dispositifs et donc la question de la centralisation. C’est pourquoi nous proposons la réalisation d’un observatoire des marchés et produits agricoles. Cet observatoire sera un outil d’aide à la décision et permettra une plus grande efficacité dans la gestion de l’information agricole.

2 commentaires:

Unknown a dit…

cool, very interesting, may God help u to continue in the same way, Ousséni KINDA

TICAFRICA a dit…

Nous avons la même idée pour plusieurs pays d'Afrique centrale et de l'ouest mais comment faire pour collecter l'information réelle à la bonne source ?
En fait, il s'agit de convertir ce qui, dans la tradition orale, se répandait de bouche à oreille en prenant évidemment le temps de se répandre (soit quelques semaines à quelques mois) en une tradition numérique qui répandrait l'info en quelques heures.
Encore faut-il que sur les marchés comme dans les zones rurales, les gens soient capable d'introduire l'information dans le circuit puis de la recevoir et de la comprendre ...

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